Amis
Je suis poésie :: Poésie :: Vers libres
Page 1 sur 1
Amis
Mes chers amis vous me manquez,
Et c’est si peut dire, vos embrassades,
Me remuent le cœur, et la palissade,
Qui nous séparent me fait suffoquer.
Car les jours d’antan ne sont plus les même,
J’en ai gros sur la patate mes chers amis,
Par mon caractère borderline sans accalmie,
J’ai oublié de vous dire ces mots : je vous aime.
Car quoi de plus cher qu’une amitié sans borne,
Pour ceux qu’on aime, ceux qu’on admire,
Ceux qui sont le point de mire,
D’une attention profonde que je lorgne.
Ami, ne t’en va pas dans ces horizons lointains,
J’ai si grand besoins de toi et de tes pieux conseils,
Reste, on est plus fort a deux, et mon cœur saigne,
A la perspective que tu partes, et blêmis mon teint.
Et mes seules larmes de réconforts, Ami,
Seront que tu trouveras peut être dans ces contrées,
Éloignées, une amitié plus convenables, ennemie,
De ta volonté de rester a jamais cloîtré
Et mes larmes redoublent quand je vous vois,
Porter, modestes, une amitié éternelle,
Qui bascule vos vies et vos voies,
En un amour de chair quasi fraternel.
L’amour jadis que vous me portiez, hélas,
S’est consumé, décimé par le Temps
Et j’entends encore vos voix amis, tourmentant,
Mes nuits, et je rêve encore, que je vous enlace…
Et c’est si peut dire, vos embrassades,
Me remuent le cœur, et la palissade,
Qui nous séparent me fait suffoquer.
Car les jours d’antan ne sont plus les même,
J’en ai gros sur la patate mes chers amis,
Par mon caractère borderline sans accalmie,
J’ai oublié de vous dire ces mots : je vous aime.
Car quoi de plus cher qu’une amitié sans borne,
Pour ceux qu’on aime, ceux qu’on admire,
Ceux qui sont le point de mire,
D’une attention profonde que je lorgne.
Ami, ne t’en va pas dans ces horizons lointains,
J’ai si grand besoins de toi et de tes pieux conseils,
Reste, on est plus fort a deux, et mon cœur saigne,
A la perspective que tu partes, et blêmis mon teint.
Et mes seules larmes de réconforts, Ami,
Seront que tu trouveras peut être dans ces contrées,
Éloignées, une amitié plus convenables, ennemie,
De ta volonté de rester a jamais cloîtré
Et mes larmes redoublent quand je vous vois,
Porter, modestes, une amitié éternelle,
Qui bascule vos vies et vos voies,
En un amour de chair quasi fraternel.
L’amour jadis que vous me portiez, hélas,
S’est consumé, décimé par le Temps
Et j’entends encore vos voix amis, tourmentant,
Mes nuits, et je rêve encore, que je vous enlace…
GGmazz41- Messages : 7
Date d'inscription : 31/10/2016
Je suis poésie :: Poésie :: Vers libres
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum