CIGARETTES
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CIGARETTES
Cigarettes dépendance
Impossible de s'en passer
Gare pourtant à trop d'ecces
Arète un peu de fumer
Risque d'intoxication
Et l'hopital à l'horizon
Ta cigarette électronique
Tu me diras c'est pas pareil
En essayant juste pourtant
S'en passer de temps en temps .
Impossible de s'en passer
Gare pourtant à trop d'ecces
Arète un peu de fumer
Risque d'intoxication
Et l'hopital à l'horizon
Ta cigarette électronique
Tu me diras c'est pas pareil
En essayant juste pourtant
S'en passer de temps en temps .
cocochanel- Messages : 105
Date d'inscription : 31/01/2015
D'un ancien fumeur
L’ EXISTENCE (OU LA CIGARETTE)
Telle cigarette brune ou bien blonde,
Naturellement plus ou moins longue,
Sans début, bien sur, on négligerait la fin.
Est-elle réellement faite à sa main ?
Enflammer l’air, si belle tentation,
Et croire maîtriser l’inspiration.
S’écarter un temps des extrémités,
La fumée se trémousse sans tomber !
Sa robe dorée aux jolies couleurs,
Ne manque ni de piquant, ni d’odeur,
Parfume, puis empeste le tabac froid,
Et jaunit fatalement le bout de nos doigts.
Comment maîtriser ces capricieuses bouffées ?
Ballerines éphémères, très dissipées,
Combien atteignent le cœur de la poitrine ?
Quand la saveur est celle que l’on imagine !
Si beaux et rares moments de connivence
Subtile union de destinées, de chance
Que croisent longues haltes dans le cendrier.
Mélancoliques cendres à jamais consumées
Si fragiles qui gardent leur apparence,
Tous ces terribles vides de l’existence.
Est-ce la durée qu’il fallait privilégier ?
Afin de pouvoir encore un moment rêver!
Telle cigarette brune ou bien blonde,
Naturellement plus ou moins longue,
Sans début, bien sur, on négligerait la fin.
Est-elle réellement faite à sa main ?
Enflammer l’air, si belle tentation,
Et croire maîtriser l’inspiration.
S’écarter un temps des extrémités,
La fumée se trémousse sans tomber !
Sa robe dorée aux jolies couleurs,
Ne manque ni de piquant, ni d’odeur,
Parfume, puis empeste le tabac froid,
Et jaunit fatalement le bout de nos doigts.
Comment maîtriser ces capricieuses bouffées ?
Ballerines éphémères, très dissipées,
Combien atteignent le cœur de la poitrine ?
Quand la saveur est celle que l’on imagine !
Si beaux et rares moments de connivence
Subtile union de destinées, de chance
Que croisent longues haltes dans le cendrier.
Mélancoliques cendres à jamais consumées
Si fragiles qui gardent leur apparence,
Tous ces terribles vides de l’existence.
Est-ce la durée qu’il fallait privilégier ?
Afin de pouvoir encore un moment rêver!
antoine38- Messages : 25
Date d'inscription : 23/02/2015
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