Où sont les Poétes?

Mais où sont les poètes? Où sont ils partis?
Une chose est certaine, ils ne sont pas ici!
Ils ont emménagé quelque part en un lieu,
Peut être que là bas, ils s'y sentent mieux?

Je pensais retrouver tous ceux de Jepoème,
Mais ils ne sont point là, il semblerait que même,
Les trolls aient déserté les sites poétiques,
Pour se nicher ailleurs , y faire Paul et Mick.

Aux quelques rares Poétes qui se posent aujourd'hui,
Au creux de ce Forum, de jour ou bien de nuit,
Sur Je suis Poésie, amenez vos amis,
Ils verront qu'il est doux d' y construire son nid...

Maudamour

JePoeme ne c'est pas fait en un jour, c'est très long pour qu'un forum prenne de l'ampleur.
Je suis poésie n'est référencé sur google que depuis trois jours, il faut évidement laisser le temps faire son oeuvre et l'aider d'un peu de bouche à oreille.
En tout cas merci pour ce petit poème amusant.

Les poètes sont souvent solitaires et peu bavards , c'est pour ça.

Oui il y a de ça aussi !

Les poètes sont là
De leur plumes ils s'expriment
Au gré du vent léger
De leur encre si fine
Plongé dans l'encrier
Sans tâche pur sont leur mots
De tout les horizons
Les poètes sont là
Nous le constaterons

Il y en a dans des prisons, d'autres sous les fleurs, certains dorment dehors... Quant à ceux de JePoème, je crois qu'ils se sont éparpillés et posés là où ils pouvaient.
Ce site est le fruit d'une belle idée et je passe le mot à ceux que je croiserai ailleurs.

Au plaisir de vous lire.

Pas facile de changer ses habitudes, je viens d'arriver, je suis un ancien de jepoème, un
de ceux qui n'a jamais eu aucun problème.

Amicalement

J'y étais mais bloqué à compter d'août 2014.
J'aime bien votre façon d'écrire et j'espère que les poètes sont là ou qu'ils vont y venir après vous avoir lu.

Alors soyons patient. Et attendons les!
Merci à tous pour votre passage sur mon poeme.
Bonne soirée,
Maudamour

Une question qui semble devenue un leitmotive : sur un site ami j'ai trouvé ceci qui fait écho à votre question  et émouvant texte : de Elyse

Une terre asséchée craquelle et attend
La pluie vivifiante et le vent qui murmure,
Mais si seule la rosée l’arrose de temps en temps,
Il sera bientôt trop tard pour sauver la nature.

Vos mots qui étaient annonciateurs de printemps,
Se sont tus et nous sentons plus fort les froidures ;
Poètes où étiez-vous pendant tout ce temps ?
Nos journées sans vous lire sont si dures.